Alors que la vent commence à arriver, les planches sont presque vide. Cela me fait une drôle d’impression, je n’ai jamais vu Deauville aussi vide.
Les dernières personnes présente sur la plage, font demi-tour pour rentrer tandis que je reste. Je reste le long de la plage alors que la pluie et le vent me fouette le visage. J’immortalise les lignes et formes qui me sautent aux yeux.
Quelques heures plus tard, le vent faiblit. Les plus courageux ressortent.
Moi, je rentre.